Hello fans des années 80,
Grouchat s'est-il trouvé un remplaçant ? Il officie à Saint-Clément des Baleines, il est jaune, généreux et souriant. Il s'est choisi une cabane EDF coincée entre les marais et la piste cyclable.
M. Chat est passé par-là. Encore une fois. Bon c'est pas tout ça, mais il faut profiter de la météo estivale rétaise.
Bibiz à tous les gluons.
Un Space Invader dans cette jolie rue si bien nommée ;)
Bibiz à tous les envahisseurs de l'espace.
Faut que je m'y mette à réécrire sur mon blog. ça me manque.
et puis je ne vais pas me laisser impressionner par la technologie.
elle doit être au service de l'homme. sur le papier oui.
car tout le monde le sait, aujourd'hui, c'est quand même les machines qui commandent. Il y en a même pour te dire si tu manges trop vite et qui t'engueulent dans l'affirmative. Quoi ? Elles te privent de dessert ?
Merde. Je dis merde à la tyrannie des choses, des machines et de la technologie. Je dis merde aux nouvelles versions d'objets qu'on maîtrise très bien avant, plus du tout après. Le mieux étant l'ennemie du bien ne l'oublions jamais.
Alors voilà. Je vais reprendre mon clavier, mes photos, et m'y remettre nom de Zeus.
Ce post en forme de test pour voir le rendu des photos et le pourquoi du comment ça marche.
Je progresse par petite touche, en mosaïque, comme le street art. L'ancien et le moderne.
Bibiz à tout ce qui va trop vite.
Beaucoup de collages en ce moment sur nos murs de rue. Ça doit être l'effet rentrée des classes et pot de colle tout neuf à étrenner. Ha ! L'odeur des pots de colle Cléopâtre...
En voici donc quelques uns des collages du quartier, dans le thème "Bêtes sauvages".
On peut se jeter dans la gueule des loups rue Biot et rue Lemercier. Le quartier développe une véritable philosophie du Street Art. Les vitrines des commerçants ont adopté ce style et il y a comme un parfum de liberté créatrice qui rôde vers la Place de Clichy.
Plus loin, on trouve une nuée d'oiseaux, un autre perdu et solitaire et enfin une grenouille couronnée qui n'a pas l'air commode. Qui osera l'embrasser ?
Bibiz à tous les stickers artistes.
Le XVIIème a subi une nouvelle attaque de Space Invaders durant l'été.
Trois nouvelles mosaïques à découvrir vers Courcelles et Lévis.
Bibiz à tous les aliens.
Un p'tit chat qu'est passé par-là à Ars-en-Ré, et un autre que voilà aux Portes-en-Ré.
Le troisième, je le cherche, le cherche...
Ah, le voilà ! Le fameux deuxième côté !
Voir ma note de l'année dernière ICI.
Bibiz à tous les matous.
J'ai vu pas mal de choses sur les murs de nos villes ces derniers temps. Aux Batignolles, à Châtelet, dans le métro, à Valenciennes même. Tout le monde a rendu ses derniers travaux avant les vacances. On a donc du romantique, du printanier, du amoureux, du heureux événement, du dérangé et du retourné.
Voici une artiste, Juliette Chenais de Busscher, qui a participé à une exposition de rue, avec deux autres, autour de la place Félix Lobligeois. Sympathiques autoportraits.
Bibiz à la fin de l'année scolaire.
Quelles jolies choses on voit parfois sur les murs et pas uniquement ceux de Paris puisque je vous rapporte aussi des images de la Bretagne.
Mais d'abord, promenons-nous dans Paris XVII. Une volée de coeurs amoureux.
Ici, les sous-vêtements de Carmen sèchent dans le vent printanier. Il y a du monde sur la corde à linge...
Là, un couple de touristes charmés par la capitale.
Et je vous ai gardé le meilleur pour la fin, la sensualité d'une Miss-Tic. ça vient de Saint-Brieuc.
Bibiz à tous les cupidons.
Ils nous ont encore fait baver d'envie à la gare Saint-Lazare avec ces détails sensuels de toiles de maîtres en provenance des collections viennoises.
Ils sont bons pour le marketing ces cocos là. Et pour la peinture aussi.
Bibiz à tous les viennois.
Dans la série je m'envoie en l'air, quelques pochoirs de rue rigolos.
Un astro-boy et un astro-man.
Bibiz à Bubuzz l'éclair.
Croisé Boulevard de la Madeleine un M. Chat qui se croit encore en vacances d'été !
Ah oui les vacances...
Patience, patience.
Bibiz à tous les minets sportifs.
En voilà un scooter qu'il est beau !!!
C'est vraiment parce qu'il est original que je dis ça parce qu'en général, je déteste les scooters, surtout ceux qui conduisent comme des fous et qui roulent sur les trottoirs en méprisant les piétons.
Depuis que j'ai failli me faire assassiner par une minette blonde connasse en Vespa qui roulait impunément sur le trottoir, le prenant pour une voie de dépassement, je garde une rancune féroce contre tout ce qui roule n'importe comment, n'importe où genre je suis seul(e) au monde, je roule vite et je vous emmerde !
(et à Paris Dieu sait qu'il y en a !)
Enfin, espérons que l'art rende ce deux-roues un peu plus respectueux que les autres...
Bibiz au Code de la route.
Tout ne s'est pas passé exactement comme je l'avais dit, mais presque. J'ai bien mis mes tongs (il faisait chaud), j'ai bien promené dans les galeries (c'était bien), j'ai pas venu chez Brigitte (il faisait chaud), et j'ai pas non plus allé chez Galerie 13 (il était loin). Par contre j'ai bien venu à d'autres galeries rigolotes (c'était bien) et j'ai même voyagé loin, jusqu'au pays du soleil levant (il y fait chaud aussi) où on s'amuse avec des poèmes.
J'ai croisé des cellules en ombre chinoise qui méditaient au Square, des musiciens et des tonnes de livres en liberté.
J'ai peinturlurue avec Bout'Chou pour la première fois avec d'autres peinturlureurs sous le chaperonnage de Valérie Heurtaut de l'atelier des Epinettes (c'était bien). La peinturlurue, vous l'avez compris bien sûr, c'est la peinture de rue. Elle se distingue du Street Art parce qu'elle n'utilise pas les murs comme support, elle n'a pas de revendication pour la liberté, contre les injustices et autre pouvoir d'achat. C'est juste pour peinturlurer dans la rue. Bon, j'admets que la peinturlurue s'adresse plutôt aux enfants de moins de 8 ans. Voilà voilà. Que voulez-vous, on ne lutte pas contre sa nature.
Comme il faisait de plus en plus chaud, j'ai tout posé moi en entier sur l'herbe du parc Martin Luther King et j'ai plus rien fait du tout (c'était bien).
Bibiz à toutes les festivités de quartier.
Cher lecteur, voici plus de quinze ans que je peins. Cette passion trouve par ce blog un moyen d'exposition adapté à mon rythme de création et à ma vie très active. J'ai fréquenté de nombreux ateliers, fait de superbes rencontres et appris auprès d'artistes reconnus. Les tableaux, croquis et dessins présentés dans mes albums couvrent ces quinze dernières années. Je vous présenterai celles à venir par mes articles. Bonne visite dans mon atelier.